Le samedi 16 et dimanche 17 septembre ont lieu les traditionnelles Journées du Patrimoine, manifestation nationale que nous honorons chez Rose Bily par :
[(2 expositions qui se tiendront du 16 septembre au 1er octobre,
dans le jardin de la bibliothèque, à ses heures d’ouverture.
Entrée libre
Pour tout renseignement, contacter la bibliothèque Rose Bily : 01 34 75 60 48)]
Un jardin d’images éphémère sur le thème « Juziers d’hier et d’aujourd’hui »
proposé par l’association Juziers dans l’Histoire et la municipalité
Juziers a évidemment beaucoup changé entre le début du XXème siècle et aujourd’hui. Peut-être plus qu’on ne l’imagine ! Peut-être moins… Le mieux pour s’en rendre compte est de confronter des prises de vue anciennes et actuelles. C’est ce que nous vous proposons dans ce jardin d’images éphémère composé de reproductions de « cartes postales 1900 » associées à des photographies d’aujourd’hui, du même quartier, de la même rue, du même carrefour, du même point de vue…
Et si le cœur vous en dit, nous vous invitons à poursuivre l’expérience : vous héritez par tirage au sort d’une autre reproduction de carte postale ancienne et votre mission, si vous l’acceptez, est de reproduire la même image aujourd’hui. En photo, en dessin, en peinture, en tout ce que vous voulez ! Du moment que vous vous rendiez sur les lieux et que vous nous fassiez partager votre regard… Mais saurez-vous retrouver l’emplacement exact ?
Une exposition de l’artiste plasticienne Florence Normier intitulée » SCULPTURES / STRUCTURES »
Engagée dans une recherche plastique mettant en parallèle dessin et sculpture, Florence Normier travaille sur les points de jonction entre les règnes : les métamorphoses du vivant qui s’allie au minéral ; les hybridations du corps et du végétal. Les formes qu’elle crée croissent et décroissent, bourgeonnent et s’enracinent, se ramifient et intègrent souvent la présence d’éléments intemporels, motifs universels, comme la frontière, le labyrinthe ou la spirale.
« Ce qui importe par-dessus tout dans une œuvre d’art, c’est la profondeur vitale de laquelle elle a pu jaillir. » » James Joyce, 1882-1941 – Ulysse